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    Principes et fonctionnement des FDL

    Accueil PROGRAMMES DE RENFORCEMENT Projets réalisés Pader 2001-2010 Stratégie d’intervention Principes et fonctionnement des FDL

    EWA et ADG partagent une approche du FDL qui appuie des actions de développement basées sur une stratégie bien définie permettant d’influencer de façon déterminante l’évolution de l’économie locale. Le FDL est considéré comme un outil qui permet à une communauté de :

    • Mettre en place une stratégie de développement basée sur une analyse des contraintes ;

    • Financer aussi bien des actions de développement structurantes de grande ampleur (exemple : filières agricoles) que des actions de moindre ampleur (ex : micro-crédit) ;

    • Déclencher un processus continu de capitalisation qui permet d’augmenter progressivement la capacité de la communauté à conduire son développement de façon autonome. Cela est possible grâce au fait qu’une partie prépondérante du capital du FDL est utilisée sous forme rotative (revolving funds).

    L’approche FDL du PADER est basée sur trois outils :

    • L’outil « projets spéciaux » : appui à des projets d’intérêt public ou communautaires portés par des individus, groupes ou collectivités locales dans des domaines diversifiés pour une approche holistique et autodéterminée du développement rural local.
    Il s’agit de projets ponctuels d’intérêt communautaire concernant généralement l’hydraulique villageoise, la santé, l’éducation, la protection de l’environnement ou la promotion de catégories vulnérables de la population (femmes et jeunes). Le montant global des projets spéciaux ne peut excéder 30% du montant total du FCDL pour ne pas entraîner l’érosion rapide de ce dernier. Il faut noter que les Communautés rurales peuvent présenter des projets variés (santé, pistes,...) d’utilité publique. Ces projets spéciaux sont subventionnés, font l’objet de crédit ou encore d’une formule mixte. La plupart nécessitent une contrepartie des porteurs de projet (pour quelques exemples, se référer à l’annexe des extraits des manuels de procédures du FDL).

    • L’outil « coopératives rurales » : renforcement et création de coopératives de services en milieu rural (structures autonomes, viable économiquement et à large échelle d’action) pour une dynamique durable de développement économique en zone rurale.
    Il s’agit de coopératives rurales ayant pour but de faciliter à leurs adhérents l’accès aux intrants, à l’équipement, aux infrastructures de stockage et de transformation, aux services de commercialisation et à l’appui technique à tous les niveaux. Elles disposent de fonds de roulement pour la production et la commercialisation leur permettant de fournir leurs adhérents à crédit et de leur permettre de commercialiser leurs excédents de production au moment opportun. Il s’agit donc d’appuyer de façon intégrée les filières céréalières, maraîchères et de production animale. Notons qu’au Sénégal les coopératives peuvent aussi mener de l’épargne-crédit, et donc comme les mutuelles (voir ci-dessous) financer des petits investissements portés par des individus ou des groupements.

    • L’outil "mutuelles d’épargne et de crédit"

    Elles permettent de financer la réalisation de divers petits investissements par des individus ou des groupements. Contrairement aux coopératives qui interviennent directement dans les flux physiques de production et de commercialisation, les mutuelles sont des organismes purement financiers ne traitant que de flux d’argent. Les caisses villageoises gérées par des groupements sont plus adaptées pour couvrir des volumes modestes ou très dispersés de petits crédits.
    Un Fonds Central pour le Développement Local alimente les FDL de chaque zone (Podor, Louga, Tivaouane, Mbour, Sédhiou) qui à leur tour financent les coopératives et la mutuelle qui ont été mis en place ainsi que les projets spéciaux sélectionnés dans chaque zone.

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